
L’UNSA dénonce le rationnement extrême des effectifs
- La dictature du taux d’occupation déstabilise l’organisation du travail, génère mal-être et démissions.
- Les objectifs mis en place sont irréalistes, favorisant l’absentéisme.
L’UNSA est en désaccord avec la nouvelle politique d’imposition des congés payés
Même si la loi le permet, le droit aux congés payés ne doit pas être imposé de manière brutale et arbitraire. L’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle doit être pleinement pris en compte.
L’UNSA constate la baisse catastrophique de la prime d’intéressement
La course au taux d’occupation et la pression sur les effectifs provoquent une cascade de démissions et d’arrêt de travail dégradant les 3 critères de calcul de la prime d’intéressement :
- Accident du travail
- Absentéisme
- Taux de CDI
L’UNSA exige une renégociation significative de cette prime qui n’est plus adaptée aux contraintes actuelles
Le montant de l’intéressement est déconnecté des efforts quotidiens fournis par les salariés. Cette prime ne correspond ni à l’implication ni aux résultats atteints en réalité par les salariés.
Malgré nos mises en gardes, la communication interne est toujours chaotique, les salariés sont en permanence dans l’ignorance des décisions qui les affectent.
Le changement attendu depuis 2 ans suite au scandales et au virage effectué par le groupe sur les conditions de travail n’est toujours pas au rendez-vous. Sur le sujet des primes, l’espoir des salariés s’amenuise, au point de devenir illusoires.
Retrouvez ci-dessous le tract dans son intégralité.